Lamaisondupoete

Chaque jour je reporte l’édition de cet article, par manque de temps, de connexion, d’énergie, que sais-je encore.

Ca y est j’ai reçu l’avis d’Over-blog m’annonçant que je peux désormais « basculer »… J’ai déjà mis au moins 2 semaines à me décider à ouvrir ce fichu message et j’avoue que je n’ai pas tout compris…

Beaucoup de corrections ce début d’année et donc moins envie de me coltiner encore du temps devant la bécane.

Quant aux petites mains, j’essaie de maintenir mon cap « on vide la boîte des encours » sans trop d’écarts, Hum…

Pas mal aussi de petites réparations, petites choses insignifiantes mais qui prennent du temps, rétréci les manches d’un chemisier, fini le coussin en récup de jeans, fini un coussin au crochet qui ne me plaît pas… c’est bête, mais on ne refait pas son éducation…

Dimanche passé, j’ai rhabillé les canapés du balcon. Là, sur ce coup, j’ai été d’une efficacité redoutable : 5 mètres achetés, pas une chute ! Les derniers 40 cm x 40 cm vont servir à faire les boutons pour fermer les extrémités des petits boudins. Ce week-end je fais un sort au 2^e tissu pour les coussins. Là, il y aura du rab.

Et puis, là, je dois me remuer pour les préparatifs de ma grande réception annuelle dimanche prochain de toute la famille à l'occasion de la Fête des mères "à la française". Déjà direz-vous ? C'est qu'entre élections et communions... il a fallu reporter pour réunir tout le monde. 22 personnes à table. Et le thème cette année est le Voyage ! 

"Les cardinaux sont allés me chercher au bout du monde. Je vous remercie de votre accueil"

Au 5^è tour de scrutin, vers 18H05 GMT une fumée blanche s’est échappée hier soir de la cheminée de la Chapelle Sixtine pour annoncer au monde l’élection du 266^è pape.

Habemus papam !

C’est l'Argentin Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, qui succède à Benoît XVI.

Décidément, quoique certains puissent dire du traditionalisme, voire de l’immobilisme de l’Eglise, rien n’est jamais « Ecrit ».

En effet, le 11 février, dans un court message en latin aux cardinaux, Benoit XVI à bout de forces ouvrait la voie en annonçant sa renonciation à mener "la Barque de Pierre" et qu'il allait se retirer dans la prière, manifesterait une "obéissance inconditionnelle" au nouveau pape, et s'effacerait aux yeux du monde.

Aussi, le 28 février, sans cérémonie mais avec émotion, redevenu simplement Joseph Ratzinger, il prit congé de près d'1,2 milliard de catholiques, affirmant qu'il resterait toujours avec eux dans la prière. Une humilité et une humanité pas toujours bien comprises.

La nouveauté ne s’arrête pas là. Un pape sud-américain c’est déjà une petite révolution. C'est aussi la première fois qu'un Jésuite accède à ce ministère. De plus, c’est un religieux très ancré dans l'évangélisation de terrain, proche de ses fidèles qui braque le projecteur catholique sur l'Amérique du sud, à la grande vitalité catholique.

En choisissant le nom de François Ier, le nouveau pape se place sous la protection de Saint François d'Assise, message assez limpide en ces temps de crises mondiales et d'indignations multiples au sein de l’Eglise.

"Amour", "fraternité",

ont été les premiers mots du nouveau pontife. La spiritualité devrait donc tenir une place majeure dans ce pontificat. 

Rien de tout ceci n'est un scoop me direz-vous. Bien sûr, ce ne sont que quelques brèves, glanées au fil des informations. Toutefois, l'élection d'un pape est, particulièrement ici, un événement majeur, et je ne pouvais pas ne pas en parler.

Au propre comme au figuré !


La correction d'un gros roman,


l'école où tout le monde est en stage

et Zhom qui joue les cuisiniers et finit un peu "rôti"...


je brode un peu quand même
il y a bien quelques ouvrages finis à montrer

et puis des envies pas encore mises en route...

La déroute, quoi !
mais c'est bientôt les vacances !